Thursday, January 17, 2008

Une histoire come ca asseyer de deviner sa ce passe a quelle époque dans ma game

Chapitre 1:Les choisis.

L’aube se lève sur le petit village que l’on nomme Tarzius.Tarzius est un petit village de pêcheurs qui se trouve en bordure du lac de Dir Nac. Calmes et prospères ses habitants vivent au rythme des saisons et des bancs de poissons. Se levant comme à chaque matin Tarki ,un pêcheur d’une quarantaine d’année, scrute le lac de sa chambre et se dit que ce sera une bonne journée pour ferrer le poisson. En effet en pleine saison estivale, c’est le meilleur temps de remplir le garde-manger pour l’hiver. Il descend l’escalier qui mène à la cuisine, prend un rapide déjeuner et se précipite dehors.

-Mais où diable peuvent-ils bien traîner ces deux là?
Sur ses mots ,il part en direction de l’arrière maison à l’endroit où il avait planté un chêne pour commémorer la mort de sa femme il y a 20 ans de cela. Il savait d’expérience que ses deux fils seraient là.

-Tu devrais lâcher tes plantes et venir t’entraîner avec moi l’elfe.

-pff! Avant que je fasse des simagrées comme toi la barbe de notre père reprendra de la couleur.

Ce fut les premières choses que Tarki entendit lorsqu’il arriva face à ses deux fils embêtés de l’arrivée de leur père.

-Qu’est-ce que vous faites encore là? Vous êtes supposés être avec les autres et préparer les canots à partir, on n’a pas de temps à perdre sinon l’hiver va nous tomber dessus comme la soupe de tante Julia! Leur débita Tarki.

-Oui msieu ,tout de suite msieu. S’écrirent les deux garçons en coeur avant de déguèrpir vers la plage à la course.Car bien que leur père soit de naturel calme il détestait que ses garçons se chamaillent pour rien.

Tarki les regarda s’enfuir un sourire sur le bord des lèvres. Cela faisait 17 ans qu’un homme était venu et lui avait confié ses deux là .Trois ans après la mort de sa femme, cette bénédiction des dieux lui redonna une raison de vivre et aujourd’huit il pouvait en être fier.

Le premier ,Val, était un garçon aux cheveux noirs et au regard vif. Il a un caractère difficile mais un très grand coeur. Depuis qu’il est tout jeune ,Val développa une habilité exceptionnelle pour le combat à main nue et avec différents types d’armes.

Tanis le deuxième est un elf aux cheveux noirs comme son frère mais il a un regard plein de sagesse et a le pouvoir de guérir.( NOTE ,les elfes à 17 ans ne sont encore que des bébés mais lui il a l’apparence d’un elfe adolescent.Mais comme les villageois ne connaissent rien aux elfes ils n’ont jamais remarqué cette anormalité.)


Personne ne savait d’où venait leur habileté mais dans ce village où la tranquillité règne, la population s’en moquait .Si seulement la tranquillité avait pu rester.

*
* *

Le soir du 13 ème jour du mois de Denor, les pêcheurs revinrent au village et virent les femmes qui avaient l’air énervé, elles agitaient les bras dans leur direction.

-mais qu’est-ce qu’elles ont? Demanda Tijal à ses deux compagnons Tanis et Val.
-J’en sais rien , dit Val, mais pressons-nous.

Une dizaine de minutes plus tard tous les villageois étaient réunis aux portes du village et tous gardaient le sillence devant la scène qu’ils voyaient. Baki, le vieux garde forestier, gisait par terre, le torse et les membres entaillés à divers endroits.Tarki se pencha sur le corps de celui qui était son ami.

-Ce n’est pas un animal qui a fait ses blessures,dit-il. Que s’est-il passé au nom des dieux?

Les femmes se retournèrent vers lui toutes en larme.

-Nous n’en savons rien. Il est arrivé en criant quelque chose à propos d’orcs qui attaqueraient et il s’est écroulé. Nous n’avons rien pu faire poure le sauver.

-Des orcs, murmura la foule présente.
-C’est impossible, nous n’en avons plus vus depuis plus de vingt-cinq ans. Cria un villageois, alors que les autres étaient encore sous le choc de ce qu’ils venaient d’apprendre.

Plus tard alors que tous avaient été conviés au conseil du village qui avait lieu pour discuter de l’état d’urgence de ce qui c’était produit.Tout le monde était dans un état de panique. Les femmes serraient leurs enfants sur leur sein, les hommes criaient d’un bout à l’autre de la salle des arguments plus bêtes les uns que les autres.

-Mes amis un peu de silence ,cria l’ancien du village qui dirrigait le conseil .Nous devons faire face à la réalité. Des orcs sont au porte de notre village! maintenant il faut décider de ce que nous devons faire, fuir! Des murmures d’indignation parcoururent la salle.Où nous battre !Le silence regagna l’assemblée.

-Puis-je avoir la parole,demanda Tarki. Nous sommes en pleine saison de pêche et si nous partons nous n’aurons jamais assez de provisions pour passer l’hiver.Un mouvement d’approbation parcourut la foule.





-Nous ne sommes que des pêcheurs comment voulez-vous que l’on résiste à des orcs armés d’épées, cria un homme.

-Nous résisterons ,cria Tarki, car ils croient que nous ne somment que des pêcheurs et bien nous leurs montrerons ce que peut faire des pêcheurs.

Un tonnerre d’applaudisements accueillit la déclaration.Tous étaient prêts à se battre. L’ancien reprit la parole.
-Bien, mais avant tout nous devons savoir combien ils sont et préparer le terrain pour leur arrivée. Alors qui serait assez brave pour aller en forêt pour vérifier les dires de notre défunt Baki. La salle retomba dans le sillence.

Du fond de l’assemblée Tanis et Val regardaient le débat sans rien dire.
-Hey Tanis tu penses à ce que je pense.
-Oui notre père quel orateur!
Val le dévisagea et se leva.
-Nous sommes prêts à y aller ,dit-il.
La salle ne fut troublée que par un”QUOI” poussé par Tanis qui résonna dans les oreilles de tous .
*
* *

Le soir venu, dans le petit boisé près de Tarzius, deux ombres s’avançaient en tentant de faire le moins de bruit possible.

- Qu’est ce qui t’a pris de te porter volontaire nom d’un chien, murmura la première ombre.
- Je voulais un peu d’action pour faire changement. Repondit la seconde.
- Et moi qu’est-ce-que je fais là ?
- Tu surveilles mes arrières au cas ou...
- C’est ça à moi de se faire mettre en morceaux et à toi la gloire!
- Hey oui !tu vois que tu comprends, murmura Val ,maintenant boucle là ,on ne doit pas être très loin de leur campement.

Les deux jeunes gens avançaient depuis déjà une heure lorsqu’ils virent la lueur d’un feu de camp à l’horison.Val fit signe à Tanis d’avancer. Les deux compères s’accroupirent et avancèrent à pas de loup. Rendus près du campement, ils virent des êtres immondes ressemblant à des hommes à tête de porc qui dialoguaient dans un langage bizarre.

- Des orcs , chuchota Tanis à l’oreille de son frère, qu’est-ce qu’ils sont laids et ils puent aussi, on peut sentir l’odeur d’ici.
- Chut! J’essaie de comprendre ce qu’ils disent .

- Mouraibilabi trouarkabladla kerratulio, s’écriait l’un des monstres en faisant tourner sa massue au-dessus de sa tête pendant que les autres pouffaient de grands rires stupides autour du feu.
- Qu’est-ce qu’il raconte? dit Val à son frère.
- Je crois qu’ils disent qu’ils vont attaquer à l’aube.
- Comment peux-tu savoir ça?
- Facile ils semblent si stupides que ça semble être la meilleure tactique pour eux . De plus ils vont se coucher ,regarde.

Et il avait raison les monstres qui somnollaient déjà, tombaient endormis comme des mouches.
- Tu vois, allons faire notre rapport aux anciens.

Ils s’apprètèrent à partir lorsque le regard de Val fut attiré par un objet qui pendait à une branche d’arbre au-dessus du campment des orcs.Il attrapa son frère par le bras et pointa l’objet qui semblait être une petite bourse accrochée à une corde. Tanis fit un signe de négation à Val qui ce dernier hocha la tête en dirrection de l’objet qu’il convoitait.

- Arrête t’es fou ou quoi si tu te faisais avoir on serait perdu.
- T’inquiète, je vais passer juste à côté d’eux et comme ils n’ont pas mis de gardes ce sera facile.

Sur ce, Val se dirigea sans faire de bruit vers le campement ennemi .Il se leva discrètement et avança entre les monstres endormis.<>. Et avec une main se protègeant le visage il se dirigea vers la bourse suspendue. En quelques pas habiles il y arriva et d’une main avide prit la ficelle qui la retenait à l’arbre et tira un coup sec. La ficelle cèda sur le coup et il se mit à rebrousser le chemin tenant dans ses mains l’objet de sa convoitise. Alors qu’il était presque sorti de son perriple, un des orcs ,toujours endormi, roula sur lui même alors que Val passait tout près de lui. Ne voyant arriver le danger qu’à la dernière minut Val ne put s’empêcher de tribucher sur le lourdeau endormi et il s’éttalla de tout son long sur l’animal qui se reveilla d’un coup sec.Val et Tanis retenèrent leur souffle alors que l’orc ,d’un air plutôt endormit , tentait de comprendre ce qu’il luit arrivait. Sur un coup de tête Val qui se sentait perdu se mit à siffler une berceuse que son père lui jouait quand lui , enfant turbulent qu’il était , n’arrivait pas à dormir. Le monstre fit un grand sourire de nigaud avec ses dents jaunes et ferma les yeux pour se recoucher .Quelques instans plus tard ,quant le coeur de Val cessa de battre comme un tambour, il se releva et alla rejoindre son frère qui était blanc comme un linge.

-T’es fou! j’ai failli avoir une attaque à cause de toi, s’écria Tanis pendant que les deux frères couraient pour s’éloigner le plus loin possible du campement des orcs.
-Ben quoi, on s’est pas fait avoir pas vrai.Ce fut la seule réplique que Val lança avant de s’arrêter pour souffler.

Pendant plusieurs minutes ils reprirent leur souffle accotés contre le tronc d’un arbre. Tanis essuya son front plein de sueur et se retourna vers son frère.
-Alors, lui dit-il.
-Alors quoi?
-tu l’ouvres oui ou non?

Val regarda la bourse en cuir qu’il tenait toujours et il se mit à en défaire le noeud qui la fermait.Les deux compères écarquillairent les yeux pour voir ce qui si trouvait dans la pénombre ambiante. A leur grande surprise tout ce qui se trouvait dans la bourse n’était que cinq misérables pièces de cuivre.
-C’est tout! s’écria Val, l’air dépité.
-Et bien! ça valait vraiment la peine que je risque ma peau pour ce misérable butin qui ne sera même pas bon à m’acheter une paire de bottes neuves.

Au même moment, une bague en onyx noir tomba de la bourse jusque dans la main de Val.
-Ha! voilà qui est intéressant, se dit-il, ça n’aura pas été vain en fin de compte je pourrai en tirer un bon prix chez un marchand.Tanis tira son frère de ses rêveries et lui dit qu’il ferait mieux d’aller prévenir tout de suite les autres au village et que l’attaque aurra lieu à l’aube. Sur ce ils repartirent vers Tarzius.

*
* *
Il ne restait que quelques heures avant le lever du soleil. Tanis et Val arrivaient en vue de Tarzius. Rendus aux portes ils s’arrêtèrent net, le village était désert et une odeur d’huile flottait dans l’air.
-Auraient-ils finalement abandonné le village? Se demanda Tanis.

C’est alors qu’ils virent apparaître Tijal aux portes.
-Hey! vous êtes revenus en un seul morceau, s’exclama ce dernier.
-Où sont les autres? Demanda Val.
-Ils se reposent, on a passé une partie de la nuit à préparer les défenses du villages,dit-il en pointant les murailles improvisées de caisses et autres objets divers.
-Et l’odeur? S’inquièta Tanis.
-De l’huile à lanterne, ils vont avoir un accueil qu’ils n’oublieront pas de sitôt. Au fait avez-vous trouvé quelque chose?
-Oui les orcs vont attaquer à l’aube, il faut prévenir les autres et vite.

Aussito les anciens averti le village se mit au brent le bas de combat. Tout le monde se préparrait à l’attaque, les femmes et les enfants furent envoyée sur les kais pour se préparrer à s’enfuire en derrnier recour.Tout les hommes valids fessaient les derrniés préparatif. Tanis et Val se préparaitent à combatre eux aussis. Tentant de se bricoller des arms avec les outils qu’ils trouvaient un peut partout.

-S’est de la folie commen voullez-vous qu’on se défende avec des trucs pareille, dit-Tanis.
-C’est mieux que rien, luit réplica son frère en essayan de se faire un baton désent d’un manche à ballet.

-Peut-être pouraige vous aidez, pronnnonca une voie derrière eux .

Les deux frères se retournair et virent un vielle homme de petite taille au cheveux blanc qui les observaits d’un aire absent. Tanis le regarda d’un regare méfien .
-Qui ète vous? on ne vous à jamait vue au village.
-C’est pares’que je ne vien pas de ce village jeûno.
-Alor qui ètes-vous et que venez-vous faire ici?
A oui bien sure ... pronomsa le pti’vieux de sa voie grincheuse. Mon nom est... mon nom est heu ! attender sa vas me revenire, dit-il en se gratent la tête.

Val regarda Tanis d’un aire désespéré.
-Et bien on est mal partie ...
-Ha oui ! Turban, mon nom est Turban et je suis venue vous aider!
-Si tu veu nous aider, dit-Tanis fait disparaitre les orcs.
-Mais non, s’indignat le vielle homme. Ou serait l’amusement dans tout sa si les orcs disparraissait.
- quel sorte d’aide peut tu nous fournires alor.
- Et bien des arme vous serrais utile nom?
- Bien sur mais de ou les sortirats, tu de ton sac magique peut ètre!
- Oui justemen!
Sur ses mots il le regardaire incrédule, c’est alor que le vieu sortie d’on ne sait trop ou un sac de la taille d’une sacoche et dit .
- alor toi Val je supose que tu voudrait une lame légerte et maniable et un costume resitent mais aillent les mêmes propriétées que l’épée. Avans même que Val est répondue le vielle homme plongea son bras jusqua l’épaule et après avoir cherché le fond pendant quelque seconde et il en sortie un katana et un habit de ninja qu’il donna à Val.
- Whaoo COOL ! s’écria se dernier alor qu’il testaie la malléabilliter de sa nouvelle lame.
- Hey moi quese que j’ai , demanda Tanis au vieu feseur de miracle.
- Heu toi ? Quese qui ferraie ton bonheur jeûno.
- Heu hey bien jamerais une côte de maille et heu quelque chose pour attaqué de loin serait bien.
Sito dit Turban replonjâ sa main dans sons sac et en sortie une cote de maille et une arbalette fait d’une mattiere ressanblant à du marbre et pouvant envoyer deux careau à la foi.
- Voualas èseque sa va aller.
- Heu èsseque je pourraie avoire des carreaux avec l’arballet si se n’est trop demander.
- Ho bien sur que non, voila.
Il lui tandie un carquoie contennant deux carreau d’argen.
- S’est tout? Juste asser poure un coup mercie sa vas beaucoup m’aider.
- A la la , ses jeûnos de nos joure il ne son jamaie contant. Soyer heureux de ce que vous avez care sa pare souvant trop vite. Ceci est ma lesson pour aujourd’huit bonne chance.
Tanis et Val se regardaire sans comprendre se que le vieu Turban voulais dire lorse qu’il entendaire un bruit de pas derriére eu. S’étais leur père qui arrivais
-A qui parlez-vous les garçons? Demanda t’il.
-Nous parlons à ..., dit Val en se retournent vers l’endroie ou se trouvais Turban mais étrangement personne ne se trouvait la.
-bon enfin venner l’aube vas bientôt poindre alons à la barricade, leur dit’il lorsequ’il s’apersue de l’aire embèter de ses fils.
- Et prener garde à vous, j’ai pas l’intention de vous perde compri.
- De même pour toi vielle homme, lui dit Val en lui donnnant une grand tape ammicale dans le dos.

*
* *
Les premiers rayons du soleil matinal apparu au deçu du mont de l’exterminateur, pour les habitans de Tarzius cet nouvelle haube marquai le début de la journée qui risquait d’ètre la plus longue de leur histoir. Disperser au quatre coin du village, les villageois se tenaie prèt a l’attaque. La tention étais telle qu’elle ètais palpable. Soudain les oiseaux se tûre se qui est un très mauvai signe, Tarqui le savait . En tête du bataillon de fortune que formaie ses voisins et amis il se tenait prèt. Des hurlements se fires entendre du boisé et une orde d’orc chargère le village. Tarqui garda son sang froie et d’es que la horde d’ennemis fùent à porté du village, il donna l’orde de mêtre feu à l’huile. En quelque seconde une vintaine d’orc prires feu. Se fut la débendade les orcs qui avais réussie à traverser le piège enflamer s’attaquère au villageoie. Les humains étans une des races plus faible , mon toujoure impressionner par leur capassiter à réagire lor de moments critique. Cette situation ne fit pas exeption. Les habitants de Tarziuse vendire chèrement leur village et leur famille . On pouvaie y voir des hommes se batre contre deux adversaires en même temps. Des femmes qui défien toute logique réussisaie à envoyer grand nombre de monstre à tête de porc à leur créateure avec de vulgaire casrolle ou couteaux de cuisine. Se ne fut pas long que les orcs perdire de leur ardeure au combas.

Pendant se temps, Tanis et Val se trouvait au centre du village. Val fonça sur le premier groupe d’orc qu’il vit . Il frappa de sont katana le premier du groupe qui réussi a parrer le coup de justesse,Val réplicas aussitôt en donnan un coup de coude à la machoire du monstre. Etrangemen il se sentait très calme pour la situation et il tranchait ses adversaires avec une facillitée déconcertente.

Tanis lui restait à l’écar et tiraie avec son arballaite, bien qu’il n’en avaie jamaie magner une il n’étaie pas rare de le voire tuer deux orc en un coup. Deplue il s’appercue vite que les deux seul careaux qu’il avait lancer réaparèssait dans son carquoi.

Environ une demie heur plus tard Val achevas son derrnier adversaire avec un coup de pied qui brisa la nuque d’un orc mal dégrosie et Tanis vin le rejoindre.

- Je croie qu’on a gagner ‘dit-il en tentan de reprendre son souffle.
Val Regardas au tour de lui il y avait des cadavres d’orcs partous. Des villageoie tentaient de se remetre de leur émotion et de retrouver leur famille et ami.
- Oui et il s’emble qu’on s’en soie pas trop mal tiré appraie tout, dit-il en rian.
- Allon rejoindre les autres ,dit-Tanis a Val .
Il s’y redaie lorsequ’il attendire des cris provenan de l’entrer du village. Les deux partirent à courrire dans cette direction et il arrivaire atten pour voire leur ami Tijale se faire ballancer dans un tas de foin par un espèce de gros monstre a la tête noire en forme de félin. Le corps de la bête étais celui d’un humain d’environ sept pied de haut dont l’épiderme étaie couvert de métal.

Val ne s’arrèta même pas et il fonsa sur le monstre. D’un coup net il frapa le monstre au bras droit mais sa la ne fit que rebondire sur sa peau . Le monstre en profita pour l’attraper par le cou et il le soulva du sol, comme s’il n’étai qu’un fétus de paille et il se mit a sérter. A se momen Tanis d’écocha ses deux carreaux d’arbalette qui fillaire droit sur le monstre mais elle nure guerre plus déffe que l’attaque de Val qui se derrnier se débataie avec l’énergie du désespoire. En tentant de se débatre il réussi à donner un viollen coup de pied au visage de la bête qui en poussent un grognement de doulleure le lacha. Appaine Val attegnie t’il le sol qu’il recu un coup de pied du monstre qui l’envoya rouller a troi mètre plus loin. Pendant se temps Tanis venaie de recharcher son arballete et sapraitaie a tirer une nouvelle foie.

- Vise la tête ,Cria Val a son Frère.

Alore que le monstre s’approchait de lui Tanis visa et tira . Le monstre nu le temps d’appersevoire que les point des carreaux avans quelle ne lui transpèrse les yeux et le tue nette.Tenten de reprendre sais esprit Tanis bondit pour éviter le monstre qui s’écroulais sur lui dans un bruit de férraille.

- Quese que s’est que ca ? Demandas Tijal alore qu’il asseyaie de se rellever.
- Je ses pas mais s’étaie surment pas un orc, lui répondit Tanis le soufle cour.

Val s’approcha de la carcasse et se mit a tirer sur une des plaques en métal qui recouvraie le corp du monstre.<<>> Aussitau Tanis et Tijal vinre laiders et ils tirraire de tout leurs force en même temps. Il réussire a l’arracher avec un bon morceau de chaire du monstre.<> s’écria Tijal un regar d’éceurement sur le visage. Pendant que les deux autre garcon se regardaie s’en conprendre se qui se passaie.

Chapitre 2: Le mont du démon

Losque leuforie du village tomba, le restant de la journer fut passer a soigner les blessés et réparer les dégâts. Lorsque le soir tomba un bûcher funéraire fut élever pour la dizaine de victime de la journer sur le rebord du lac Dir Nac. Tousse y assis terre pour rendre hommage a ses braves qui défendire leur famille et amis au prit de leur vie. Mais aussi pour se réconforter mutuellement. En premier rang se trouvai Tarqui et ses fils.

Après un conseille des anciens eu lieu. Y siègent se trouvai Tarquie et six des plus âgé du village. Tous avais une grave expression sur le visage.

- Vous savez tous pourquoi nous somme ici, commença la vielle Dania, l'attaque imprévue des orcs et de l'autre créature réveille un passer bien trouble que nous espérions tous oublier.
- Vous parler de l'exterminateur n'est pas? Prononça Tarqui l'air grave.
- Exactement le démon qui habitais le mont du même nom il y a plusieurs décennie.
- Alors vous croyez que se serait lui la cause de tout ça?
- Oui
Une autre voie se levas de l’assembler.
- S’est ridicule il y a plus de cinquante ans que les forces du roi l’on détruit.
- Oui mais si jamais par un quelconque miracle il soie revenue nous devons prévenir le roi pour qu’il nous envois de l’aide avants qu’il ne soie trop tard.
- Ne parter pas en peur ,s’écria la voie de Tarqui d’un ton autoritaire. Nous ne pouvons alerter le roi s’en être sur de se qui se passe sinon il ne nous prendras pas au sérieux.
- Alor envoyon quelqun voire la haut.
- Qui serrait asser brave pour tenter une telle foli. Dit l’un des membres du conseil.
- Dit donc Tarqui, tes fils on abattue le chef ennemie non.
- Oui! ou vouler vous en venir, répondit celui-si.
- Ben il pourraient la gravir la montagne et aller vériffier si le démond est de retour.
- NON! il n’ent est pas question ,Cria Tarqui, se ne sont encore que des enfants bon sans.
- Je suis désoller Tarqui, répondit le chef mais nous navons pas vraiment d’autre choix. Si nous attendont trop longtemps il sera peut ètre trop tard. Commprener moi ,Tarqui, mais il son ceu qui semble avoir le plus de chance de sans sortire imdem d’un tell périple.
Tarqui le regardat songeure pendant plusieur minute et dit finallement
- Je vait leur demander mais ne vous fait pas trop d’illusion cela métonnerais qu’il accepte.
Sur ce il se lève et quite l’assembler pour retourner chez lui.


*
* *
Le matin venait apènne de se lever que Tanis et Val se mètai déja en route vers les montagnes. Tarqui les regardais partire avec ammertume car il savait qu’il ne garderrait plus ses fils aupprait de lui pour bien lontemps. Appene étais t’il rentrer hier que Val lui expossa sont idée d’aller vérivier par luit mème la montagne pour s’assurer qu’il ny avait pas d’autre envayiseur qui se dirrigais ver le village. Une partie de la nuit fut passer a préparrer leur dépar. Quelque provission de la corde du bois pour faire un feu un peut d’entousiasme de la par de Val et ils était près pour leur périple.

2 Comments:

Blogger Eos / Michael said...

malheureusement, je ne connais pas assez ta game pour savoir à quel moment cette histoire se passe, mais j'ai beaucoup aimé la lire. tu devrais écrire plus souvent et ce n'est pas l'avis de ta blonde, mais d'une lectrice qui aime le genre d'écriture que tu fais.

1:18 PM  
Blogger Lyra said...

L'exterminateur, c'est Xélotha?

1:30 PM  

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